Comme son nom l’indique elle s’applique aux viscères, s’assurant donc de la bonne mobilité (mouvement de l’organe par rapport aux autres) et motilité (mouvement de l’organe sur lui même) de chacun des organes, preuve d’un fonctionnement optimal de ces derniers.

​En considérant le corps dans son ensemble, les techniques viscérales ont également un intérêt dans le traitement des dorsalgies par exemple. En effet, les viscères sont en lien direct avec la colonne vertébrale, une dysfonction organique peut donc être à l’origine d’une dysfonction vertébrale, ceci par deux moyens :

​Les organes sont suspendus à la colonne vertébrale, sollicitant cette dernière lors d’un déséquilibre au niveau de la cavité abdominale entrainant une modification des courbes rachidiennes.

Ils sont en connection directe avec la moelle épinière par les nerfs, informant continuellement cette dernière de leur état de santé. Un organe « bloqué » va donc envoyer des informations excitatrices à son étage métamérique (portion de moelle épinière lui correspondant) lui même en communication avec les muscles environnants qui finiront par se crisper par réponse réflexe et provoquer un blocage articulaire… et donc un mal de dos !

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